VITAMINE B9/FOLATE/5-MTHF/ACIDE FOLIQUE

Quels sont les symptômes d’une carence en vitamine B9 ?

Le visage pâle, ou rouge, l’anémie, l’irritabilité, l’essoufflement, l’étourdissements, l’inflammation de la langue, la fatigue, la baisse des performances physique et intellectuelle, la perte de mémoire et des problèmes de concentration sont des symptômes fréquents d’une carence en vitamine B9, malformation fœtale, etc.

BIOCHIMIE

La question de la meilleure forme de folates (vitamine B9) se pose souvent, surtout entre l’acide folique (forme synthétique utilisée dans les compléments et l’enrichissement alimentaire) et le 5-méthyltétrahydrofolate (5-MTHF), la forme bioactive naturellement présente dans l’organisme.

Le danger d’une mauvaise vitamine B9 (folate ou acide folique sous forme de synthèse chimique)

Contrairement aux idées reçues, sans le contrôle de tous les critères biochimiques et pharmacocinétiques, les compléments alimentaires peuvent avoir des effets délétères sur la santé en fonction de leur origine, leur extraction, leur dosage, leur forme galénique et leur conservation.

De nombreuses études pharmacocinétiques ont notamment prouvées la toxicité de nombreux compléments alimentaires, dont la vitamine B9 car elle était sous forme de synthèse chimique et souvent atomisée. Sa mauvaise forme galénique a notamment causé de nombreux troubles de santé. Sachant que cette vitamine participe à de nombreux processus enzymatiques, il est donc indispensable de bien la choisir avec tous les cofacteurs et coenzymes nécessaires à son assimilation.

L’acide folique est indispensable pour prévenir les anomalies du tube neural et soutenir la synthèse des acides nucléiques. Mais les recherches montrent que son excès (surtout la forme synthétique non métabolisée, UMFA) peut avoir des effets indésirables, notamment chez les nourrissons exposés via la mère.

📌 Études montrant des effets potentiellement nocifs de l’acide folique (UMFA)

1. Accumulation de folate inactif dans le lait maternel

   • Supplémenter avec de l’acide folique augmente fortement la proportion d’UMFA dans le lait maternel (28 % du total vs seulement 2 % avec 5-MTHF).

   • Les auteurs concluent qu’il faut étudier si cela perturbe le métabolisme folate-dépendant de l’enfant.

2. Présence d’UMFA dans le sang maternel et du cordon

   • Dans une cohorte de femmes enceintes canadiennes, >90 % présentaient de l’UMFA détectable, ainsi que leurs nouveau-nés.

   • Les chercheurs préviennent que les conséquences d’un excès d’acide folique et UMFA sur la santé à long terme de l’enfant pourraient être délétères.

3. Effets génotoxiques

   • Dans un modèle cellulaire humain, un excès d’acide folique imite une carence en folates :

     • altérations de la méthylation de l’ADN

     • ↑ dommages oxydatifs à l’ADN

     • perturbation de la réparation.

Accumulation d’acide folique non métabolisé (UMFA)

L’acide folique est vital en prévention des malformations du tube neural. Mais sous forme synthétique et à fortes doses, il génère un excès d’UMFA qui :

• L’acide folique non métabolisé circule dans le sang après supplémentation et peut s’accumuler.

• Cet UMFA est suspecté de perturber le métabolisme, notamment en bloquant les récepteurs aux folates et en interférant avec certaines fonctions immunitaires et cognitives.

• L’acide folique s’accumule dans le sang maternel et le lait, exposant le nourrisson,

• Il réduit l’efficacité des cellules immunitaires

• Il augmente l’inflammation,

• Il peut causer des anomalies de l’ADN.

• Les analyses suggèrent que ce n’est pas l’UMFA seul mais l’ensemble des folates synthétiques et réduits qui pourrait stimuler la croissance tumorale une fois lésion initiée.

• Un excès chronique d’acide folique synthétique (UMFA) pendant la grossesse et autre peut donc s’accumuler dans le sang, être associé à un risque accru de progression de lésions précancéreuses (adénomes colorectaux), et poser des risques particuliers chez certains groupes (hommes, génotype MTHFR défavorable).

Face à la complexité de l’assimilation de la vitamine B9, certaines industries l’ont synthétisées en acide folique en pensant qu’elle serait plus facilement assimilable par l’organisme. Mais au fil du temps, de nombreuses études ont prouvées sa forte toxicité.

SOLUTIONS

Il est donc important de bien comprendre le processus enzymatique de chaque molécule, son activité et sa réaction.

Le 5-MTHF (forme active du folate) apparaît comme la source la plus biodisponible et physiologique qui circule dans le sang et que les cellules utilisent, avec moins de risques d’accumulation d’acide folique non métabolisé.
Si disponible, il est souvent considéré comme une meilleure option que l’acide folique classique, surtout chez les personnes avec mutations MTHFR, pendant la grossesse, et chez les nourrissons.

Évidence scientifique

• Meilleure biodisponibilité du 5-MTHF : Plusieurs études montrent que le 5-MTHF augmente plus efficacement les taux sanguins de folate que l’acide folique, et ce, même chez les personnes ayant une mutation du gène MTHFR (qui réduit la conversion de l’acide folique en forme active). De plus, l’acide folique non métabolisé s’accumule régulièrement dans le sang après supplémentation, mais rarement avec le 5-MTHF.

• Moins de risques liés à l’acide folique : Le 5-MTHF ne masque pas une carence et ne dépend pas d’enzymes limitées (comme la DHFR) pour être actif, contrairement à l’acide folique. Il permet aussi d’éviter l’accumulation d’acide folique non métabolisé (UMFA), qui est observée dans le sang et le lait maternel des femmes prenant de l’acide folique.

• Grossesse et fertilité : Pendant la grossesse, le 5-MTHF est immédiatement disponible pour la mère et le fœtus et semble réduire le risque lié à l’accumulation d’acide folique, ce qui en fait une alternative intéressante au folic acid classique.

• Nourrissons et allaitement : Chez les nourrissons, les formules enrichies en 5-MTHF augmentent plus efficacement les taux de folate dans le sang que celles enrichies en acide folique. De plus, le lait maternel contient beaucoup plus d’acide folique non métabolisé lorsque la mère prend de l’acide folique comparé au 5-MTHF (Cochrane et al., 2023).

HG WELLNESS vous propose des compléments alimentaires d’une qualité optimale sur la base de nombreuses recherches. Ainsi, notre vitamine B9 possède les cofacteurs et coenzymes pour une meilleure assimilation, et surtout sans effets secondaires.

Pour qui ?

La vitamine B9 aide à booster la fertilité masculine en augmentant la quantité, la mobilité et la motilité des spermatozoïdes ainsi que la réduction des anomalies morphologiques.  Elle exercerait un effet bénéfique lors de la spermatogenèse. Les folates sont impliqués dans la formation de l’ADN du gamète masculin : le spermatozoïde.

Pendant la grossesse, on recommande aux femmes enceintes de prendre des supplémentations à base de vitamine B9 pour éviter l’anémie, les malformations fœtales et du cordon médullaire, un meilleur développement embryonnaire et la réduction du risque d’une anomalie du tube neural afin de réduire les risques de malformation (spina bifida) liée à un défaut de la fermeture du tube neuronal durant la quatrième semaine de vie embryonnaire.

De plus, notre formule se compose d’ingrédients 100% naturel tels que : Vitamine B9 (folate), Silicium, Vitamines (A, B1, B2, B3, B5, B6, B7 ou Biotine, C, K), Acide ursolique, Acide corosolique, Caroténoïdes (astaxanthine, lutéine, crocine, crocétine, picrocrocine, carotènes (alpha-carotène, béta-carotène), lycopène, zéaxanthine), MSM, Gingérols, Anthocyanosides, Quercétine…qui aident les femmes pendant et après grossesse, de ralentir la perte des cheveux et les cheveux grisonnants, de conserver une belle beau, de réduire l’anémie et le diabète gestationnel.

Les personnes âgées auraient moins de perte de mémoire en faisant une cure de vitamine B9. Cela permettrait également de maintenir les performances intellectuelles et une meilleure production de cellules médullaires.

Toute la population en général pourrait faire une de 4 semaines de vitamine B9 pour aider les cellules à mieux se développer, avoir une belle peau, une bonne condition physique et intellectuelle, favoriser la pousse des cheveux en stimulant le follicule pileux (bulbe capillaire) et booster leurs croissances.

Pourquoi prendre notre formule?

• Peut obtenir la réponse du récepteur du folate (FR-α et FR-β) pour faciliter le transport du folate par un mécanisme appelé potocytose.
• Participe à la formation dans l’organisme d’adénosine et de ses dérivés, AMP, ATP, UTP
• Tonique anti-anémique
• Immunostimulant, augmenterait l’activité macrophagique
• Antinévritique
• Hypoglycémiant (protection contre le diabète gestationnel)
• Anti-bactérienne sur Staphylococcus et Colibacillinum 
• Hépatoprotecteur et neuroprotecteur
• Contribue à l’amélioration de la santé globale
• Contient du glutathion qui est essentiel dans le placenta pour protéger le fœtus contre le stress oxydatif. Des déficits en glutathion sont associés à des complications de grossesse (prééclampsie, retard de croissance intra-utérin)
• ainsi que d’autres nutriments tels que le Silicium, les vitamines (A, B1, B2, B3, B5, B6, B8, C, K), l’acide ursolique, l’acide maslinique, l’acide corosolique, l’acide euscaphique, des caroténoïdes (astaxanthine, lutéine, carotènes, lycopène, zéaxanthine)

• Meilleure synthèse des acides nucléiques (ADN/ARN)

• Méthylation (régulation de l’expression des gènes)

• Métabolisme de l’homocystéine (protection cardiovasculaire).

Veuillez nous contacter pour un suivi personnalisé.

HG WELLNESS, Scientific Excellence for better Health.

Références scientifiques : Advanced Biomedical Research, National Institute of Health, Nature, International journal of immunopathology and pharmacology, Molecular and Cellular Endocrinology, Bioscience Biotechnology & Biochemistry, Biological and Pharmaceutical Bulletin, International Journal of Research in Pharmaceutical Sciences, CCNSI, MDPI, SciFinder, BioFINDER, ScienceDirect, SCOPUS, CINAHL, ProQUEST, EMBASE, Cochrane Library, TOXNET, CAplus, TOXCENTER, SCISEARCH, MEDLINE, NCI CTCAE, NCBI, PUBMED, SpringerLink, NAPRALERT, Hindawi, WCRF (World Cancer Research Fund), AICR (American Institute for Cancer Research), National Cancer Institute, Webmd, CIMER, InteliHealth, The American Society of Pharmacognosy, The Lancet, Web of Science, TRAMIL, Chemical Abstracts, Clinical Trials Registry Platform, ClinicalTrials.gov, Dr. Dukes Phytochemical and Ethnobotany, Université de Harvard (Harvard Medical School, Health Professionals Study, Havard School of Public Health), Journal of Cancer, International Journal of Biological Sciences, Australasian Journal of Dermatology, Planta medica, Journal of Natural Products, Phyochemistry, Journal of Cardiology, American Academy of Neurology, Journal of Rheumatology, American College of Rheumatology, Journal of pain, American Academy of Dermatology, Journal of Traditional and Complementary Medicine, Journal of Ethnopharmacology, Google Academic, Google Scholar, BMC Complementary and Alternative Medicine, Asian Journal of Pharmaceutical and Clinical Research, International Journal of Life science and Pharma Research, Chinese Medicine (International Society for Chinese Medicine), The Journal of Steroid Biochemistry and Molecular Biology, Ovid, Wiley, ISI, Frontiers in Pharmacology, Journal of Molecular Cell Biology, Cell & Tissue Research, The FASEB Journal, Experimental Dermatology, Dove Medical Press, Archives of Dermatological Research, Journal of Investigative Dermatology, Indian Journal of Dermatology, Venereology and Leprology, Endocrinology and Metabolism Clinics of North America, British Journal of Dermatology, Journal of the American Academy of Dermatology, Dermatology and Therapy, Dermatology, Taiwanese Journal of Obstetrics & Gynecology, International Journal of Molecular Sciences, The journal of sexual medicine, Reproductive endocrinology, Fundamental & Clinical Pharmacology, World Journal of Gastroenterology, BioMed Research International, Journal of Cosmetic Dermatology, ResearchGate, Journal of Cutaneous and Aesthetic Surgery, American Society for Dermatologic Surgery, Medicine, Biochemical and Biophysical Research Communications, International Journal of Trichology, Prostate Cancer and Prostatic Diseases, The Prostate, Asian Journal of Pharmaceutical and Clinical Research, Chemical Research in Toxicology, Journal of Alternative & Complementary Medicine, Journal of Medicinal Food, Evidence-Based Complementary and Alternative Medicine, Journal of Alternative & Complementary Medicine, Medicinal Plants and Natural Active Compounds for Cancer Chemoprevention/Chemotherapy, Science Translational Medicine, Evidence-Based Complementary and Alternative Medicine, The American Journal of Clinical Nutrition, Journal of Lipid Research, Natural Products and Bioprospecting, Phytotherapy research, International journal of fertility and menopausal studies

Autres : New England Journal of Medicine, NICE (National Institue for Health and Care Excellence), National Clinical Guideline Center, Medicatrix, Physician’s Health Study, AHA (American Heart association), ADA (American Diabete Association), International Diabetes Federation, OMS, Food Nutrition Board, DGAC (Dietary Guidelines Advisory Committee), Académie Chinoise pour la Médecine Préventive, Centre de recherche universitaire (Université Cornell, Université de Caroline du Nord, Université d’Oxford, Université Thomas Jefferson), M. D Anderson Cancer Center de l’Université du Texas, Nutrition Research Reviews, Patentscope, DKF2 (Centre de recherche pour le cancer d’Heidelberg), Institut Karolinska, IASO (Association for the Study of Obesity), Institut de Recherche sur l’Alimentation Enfantine, DIfE (Institut de Recherche Nutritionnelle Allemand), Nutriments, Inflammatory Bowel Diseases.