Le Brevilin A, grâce à son action combinée sur JAK2/STAT3 et PI3K/AKT/mTOR, constitue une nouvelle voie thérapeutique naturelle prometteuse contre de multiples cancers solides (sein, poumon, foie, côlon, mélanome).
Ses effets antitumoraux puissants, sa sélectivité cellulaire et sa faible toxicité font de cette molécule un candidat privilégié pour le développement de traitements phytothérapeutiques anticancéreux.
La forme naturelle extraite de Centipeda minima est :
plus sûre que les inhibiteurs synthétiques du JAK/STAT,
mieux tolérée en raison de la présence de composés synergiques (autres lactones sesquiterpéniques),
et plus biodisponible sous forme orale avec un effet systémique limité, réduisant les effets secondaires.
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Le Brevilin A est un sesquiterpène lactone naturel isolé de Centipeda minima (L.) A. Braun & Asch., utilisée depuis des siècles dans la pharmacopée chinoise.
Il s’agit d’une molécule lipophile active par voie orale, capable de traverser la membrane cellulaire et d’agir sur plusieurs voies de signalisation intracellulaire clés dans le cancer et les maladies inflammatoires chroniques (Chen et al., 2013, PLoS ONE).
| Propriété | Effet observé / mécanisme | Référence |
|---|---|---|
| Antitumoral | Inhibition de STAT3 et JAK2, induction de l’apoptose (HeLa, HepG2, HCT-116, MCF-7, A549) | (Khan et al., 2020), (Meng et al., 2023) |
| Anti-colorectal | Inhibition de la migration, invasion et angiogenèse tumorale | (Meng et al., 2023, Heliyon) |
| Anti-hépatocellulaire (HepG2) | Inhibition de Stat3/Snail et Wnt/β-catenin | (Qin & Lu, 2019, RSC Advances) |
| Anti-fibrose hépatique | Réversion de l’activation des cellules stellaires du foie via inhibition de STAT3 | (Park et al., 2021, Bioorg. Med. Chem. Lett.) |
| Anti-mélanome et anticancer du sein | Induction d’apoptose, inhibition de PI3K/AKT/mTOR et STAT3 | (Su et al., 2019, Life Sciences), (Qu et al., 2020) |
Les modèles murins de cancer nasopharyngé (CNE-2), colorectal et mammaire ont montré que :
L’administration orale ou intrapéritonéale de Brevilin A (10–50 mg/kg/jour) réduit significativement la croissance tumorale.
Contrairement à la chimiothérapie classique (ex. cisplatine), aucune perte de poids ni toxicité systémique n’est observée chez les animaux traités (Liu et al., 2019).
Le Brevilin A est un inhibiteur naturel du couple JAK/STAT3, une voie de signalisation impliquée dans la prolifération cellulaire, la résistance à l’apoptose, la migration tumorale et la survie des cellules cancéreuses.
Inhibition de STAT3 (IC₅₀ ≈ 10,6 μM)
Brevilin A bloque la phosphorylation de STAT3 sur la tyrosine 705 (Tyr705), empêchant sa translocation nucléaire et l’activation des gènes de survie comme Bcl-xL, MMP-2, VEGF et Cycline D1 (Khan et al., 2020, Journal of Cancer).
Inhibition directe de JAK2
Le Brevilin A se lie au domaine catalytique JH1 de la kinase JAK2, réduisant la phosphorylation des substrats en aval, notamment STAT1 et STAT3 (Chen et al., 2013).
Induction de l’apoptose et de l’autophagie
Le composé stimule la production d’espèces réactives de l’oxygène (ROS), provoque une dysfonction mitochondriale, et déclenche la cascade caspase-3/caspase-9 et la formation d’autophagosomes (You et al., 2018, Biomedicine & Pharmacotherapy).
Blocage de la voie PI3K/AKT/mTOR
Brevilin A désactive les protéines clés de la voie PI3K/AKT, induisant un arrêt du cycle cellulaire en phase G2/M et la mort cellulaire programmée (Liu et al., 2019, Frontiers in Pharmacology).
| Caractéristique | Brevilin A naturel (Centipeda minima) | Inhibiteurs JAK/STAT synthétiques (ex. Ruxolitinib, Tofacitinib) |
|---|---|---|
| Origine | Naturelle, sesquiterpène lactone végétale | Molécules chimiques de synthèse |
| Cibles | JAK1/2, STAT3, STAT1, PI3K, AKT, mTOR | JAK1/2 uniquement |
| Spectre biologique | Antitumoral, anti-fibrotique, anti-inflammatoire, antivirale | Immunomodulateur (polyarthrite, psoriasis) |
| Effets secondaires | Faibles (pas de cytotoxicité hépatique ni myélosuppression) | Anémie, infections, thrombopénie, hépatotoxicité |
| Tolérance orale | Excellente (faible biodisponibilité systémique, effet local prolongé) | Variable selon la molécule |
| Synergie phytocomplexe | Oui (autres sesquiterpènes protecteurs) | Non |
Cette biodisponibilité contrôlée et la synergie naturelle des composants de Centipeda minima permettent une action anticancéreuse efficace sans toxicité majeure, contrairement aux inhibiteurs synthétiques qui présentent un risque hématologique et hépatique plus élevé (Yang et al., 2024, Curr. Pharmacol. Rep.).
🔬 1. Une révolution pharmacologique : les molécules naturelles pénétrantes et régulatrices des cellules souches tumorales
Les molécules naturelles bioactives (comme Brevilin A), appartiennent à une nouvelle génération de composés dits multicibles.
Contrairement aux médicaments de synthèse conçus pour agir sur une seule cible moléculaire, ces substances agissent sur plusieurs voies de signalisation simultanément :
Ces molécules naturelles ont démontré la capacité unique de désactiver les signaux de maintenance des CSC, notamment les voies Wnt/β-caténine, Notch, Hedgehog, et STAT3, tout en préservant les cellules saines (Shanmugam et al., 2018, Pharmacol. Res.).
2. Une biodistribution exceptionnelle : franchissement des barrières biologiques
Les molécules naturelles lipophiles comme les triterpénoïdes, sesquiterpènes et diterpénoïdes époxydiques possèdent un avantage pharmacocinétique majeur :
elles peuvent traverser de multiples barrières physiologiques qui bloquent habituellement la plupart des chimiothérapies.
🔹 Les principales barrières biologiques franchies :
➡️ Résultat : ces composés atteignent les cellules souches tumorales dans les tissus où la chimiothérapie échoue totalement à pénétrer.
💊 3. Chimiothérapie : limites structurelles et toxicité systémique
La chimiothérapie conventionnelle repose sur des agents cytotoxiques (cisplatine, doxorubicine, vincristine de synthèse…) qui détruisent toutes les cellules à division rapide, sans distinction entre cellules cancéreuses et saines.
Ces molécules hydrosolubles sont incapables de franchir les barrières biologiques comme la barrière hémato-encéphalique ou la barrière testiculaire, et leur accumulation dans le foie, les reins et la moelle osseuse entraîne :
De plus, elles ne détruisent pas les cellules souches tumorales, ce qui conduit à des rechutes fréquentes et à une résistance thérapeutique accrue (Dean et al., 2005, Nat. Rev. Cancer).
🧠 4. L’immunothérapie et ses limites économiques et biologiques
L’immunothérapie (anticorps monoclonaux, inhibiteurs de checkpoints, CAR-T cells) a marqué un tournant dans l’oncologie moderne.
Cependant, malgré des succès dans certaines hémopathies, son efficacité est très variable selon le type de cancer.
❗ Limites cliniques documentées :
5. Les cellules souches mésenchymateuses : promesse encore expérimentale
Les cellules souches mésenchymateuses (MSC) représentent une piste innovante pour cibler la niche tumorale, mais elles :
Leur utilisation clinique généralisée n’est donc pas encore réaliste.
6. Les molécules naturelles : une voie sûre, efficace et abordable
Les composés naturels (comme Brevilin A), combinent plusieurs atouts majeurs :
Certaines études montrent que Brevilin A peut cibler ce qui sont considérés comme « cellules souches tumorales » (CSC, cancer stem cells) ou des populations résistantes dans les tumeurs.
Ces molécules agissent comme des “smart drugs” naturelles, capables de rééduquer les cellules cancéreuses et restaurer l’homéostasie cellulaire, sans détruire les tissus sains.
Leur extraction fiable, leur profil de sécurité excellent et leur polyvalence pharmacologique font d’elles les candidates idéales pour la prochaine génération de traitements anticancéreux naturels.
Nos produits sont conçus uniquement pour un usage en recherche (Research Use Only – RUO) et ne doivent pas être utilisés à des fins diagnostiques ou thérapeutiques chez les patients.
Chen X. et al., 2013 – PLoS ONE, “Brevilin A inhibits Janus kinase activity and blocks STAT3 signaling in cancer cells.”
Liu R. et al., 2019 – Front. Pharmacol., “Brevilin A induces apoptosis and cell cycle arrest in nasopharyngeal carcinoma.”
Khan M. et al., 2020 – J. Cancer, “Brevilin A induces ROS-dependent apoptosis and suppresses STAT3 activation.”
You P. et al., 2018 – Biomed. Pharmacother., “Brevilin A induces apoptosis and autophagy via PI3K/AKT/mTOR inhibition.”
Park Y.J. et al., 2021 – Bioorg. Med. Chem. Lett., “Anti-fibrotic effects of Brevilin A via STAT3 inhibition.”
Meng Y. et al., 2023 – Heliyon, “Brevilin A exerts anti-colorectal cancer effects and potently inhibits STAT3 signaling.”
Yang H. et al., 2024 – Current Pharmacology Reports, “Pharmacological activities of Brevilin A: a mini-review.”
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