HG ANTI-EBV

Symptômes : fièvre, mal de gorge, enflure des ganglions lymphatiques, etc.

Transmission

• Infection : Plus de 90 % des adultes dans le monde sont infectés par l’EBV, qui restent généralement latents dans les lymphocytes B après l’infection initiale. Le virus se propage par contact avec les fluides corporels, en particulier la salive, mais aussi par le sang et les relations sexuelles. Ce virus échappe au système immunitaire par des mécanismes complexes, lui permettant d’établir des infections latentes à vie. La compréhension de son mode de transmission et de ses effets pathologiques est essentielle pour gérer les infections associées et prévenir leurs complications.
• Tropisme : L’EBV infecte principalement les cellules épithéliales de l’oropharynx et les lymphocytes B. Le virus peut provoquer une prolifération des lymphocytes B, ce qui peut entraîner des complications telles que des lymphomes (comme le lymphome de Burkitt) et d’ autres cancers.

Pathologies associées

• Mononucléose Infectieuse : Cette infection se manifeste souvent par des symptômes tels que fatigue, fièvre, maux de gorge et ganglions lymphatiques enflés. Bien que généralement bénigne, elle peut entraîner des complications chez certaines personnes, notamment des problèmes hépatiques ou spléniques.
• Autres maladies associées : Le virus cible les lymphocytes B humains via leur récepteur CD21. La protéine EBNA-2 qu’il produit lors de l’infection de ces cellules, peut recruter des facteurs de transcription (FT) humains et ainsi causer des maladies auto-immunes comme le lupus, le diabète de type 1, le Syndrome de Purtilo, la Leucoplasie, divers lymphomes (Lymphome immunoblastique, lymphome de Hodgkin, etc.) et cancer du sein, ainsi que les cancers épithéliaux comme le carcinome gastrique et le carcinome du nasopharynx car l’EBV se multiplie dans les cellules de l’oropharynx.

Des études récentes révèlent également un lien potentiel entre l’EBV et des maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques. Le risque de sclérose en plaques est multiplié par 32 après une infection par le virus d’Epstein-Barr.

Diagnostic

Le diagnostic de l’infection à EBV peut inclure des tests sérologiques pour détecter les anticorps hétérophiles ou spécifiques à l’EBV. La détection du génome viral dans les cellules malignes est également utilisée dans certains cas.

Les anti-antigènes nucléaires du virus d’Epstein Barr se développent plus tard (après 2 à 4 mois) dans l’infection aiguë par l’EBV et persistent à vie. La sérologie permet de distinguer une infection récente (notamment une mononucléose infectieuse), d’une infection ancienne. Elle permet presque toujours d’affirmer ou d’infirmer le diagnostic de mononucléose infectieuse, voire de cancer.

Traitement :

Il n’existe pas de traitement antiviral spécifique pour l’EBV en médecine conventionnelle. La gestion se concentre généralement sur le soulagement des symptômes. Dans les cas graves ou compliqués, un suivi médical est nécessaire pour traiter les complications associées.

HG WELLNESS propose des composés qui ont fait leur preuve dans de nombreuses études scientifiques et cliniques. Ils contribuent à :

– prévenir l’apparition de l’Herpes virus de type 2 (HSV-2)

– diminuer le taux de DNA-polymérase des virus concernés, tels que celui de l’hépatite B (enzyme nécessaire à la réplication du virus)

– réduire virus d’Epstein-Barr (EBV) en diminuant les anticorps (anti-antigène nucléaire) tels que les IgG anti-EBNA, IgM et IgG anti-VCA, etc.

– d’inhiber la réplication de virus à ADN et ARN : herpès, hépatite A & B, grippe A, virus respiratoire syncitial, herpès génital, etc.

Veuillez nous contacter pour un suivi personnalisé.

Chez HG Wellness, votre santé est notre priorité.

Références scientifiques : Nature.com, CCNSI, MDPI, SciFinder, BioFINDER, ScienceDirect, SCOPUS, CINAHL, ProQUEST, EMBASE, Web of Science, Cochrane, TOXNET, CAplus, TOXCENTER, SCISEARCH, Chemical Abstracts, Clinical Trials Registry Platform, ClinicalTrials.gov, Dr. Dukes Phytochemical and Ethnobotany, MEDLINE, NCI CTCAE, NCBI, PUBMED, SpringerLink, NAPRALERT, Hindawi, Webmd, CIMER, InteliHealth, The American Society of Pharmacognosy, Thelancet, TRAMIL, Planta medica, Journal of Natural Products, Phyochemistry, Phytotherapy research, American Academy of Neurology, Journal of Rheumatology, American College of Rheumatology, Journal of pain, American Academy of Dermatology, Journal of Traditional and Complementary Medicine, Journal of Ethnopharmacology, Google Academic, Google Scholar, BMC Complementary and Alternative Medicine.