Le diabète est une maladie chronique qui a augmenté à un rythme sans précédent. Il est un problème de santé mondiale en pleine expansion. Les médicaments allopathiques ne sont pas assez efficaces pour contrôler le diabète et ses complications.
Les produits naturels tels que les extraits de plantes et les métabolites secondaires microbiens complexes ont récemment attiré l’attention du monde scientifique pour leur utilisation potentielle comme médicaments pour traiter cette maladie. L’accent mis sur les études pharmacologiques relatives au diabète a entraîné un changement remarquable des médicaments conventionnels vers des thérapies employant des phytomolécules bioactives provenant de sources naturelles. L’efficacité prospective des produits naturels, ainsi que leur faible coût et leurs effets secondaires minimes, ont révolutionné tout le concept des programmes de découverte et de gestion de médicaments contre le diabète.
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PATHOGENIE
Le diabète sucré fait référence à un groupe de maladies métaboliques dans lesquelles le patient présente des taux de glucose sanguin élevés en raison d’une production insuffisante d’insuline par le pancréas (diabète de type 1) ou d’une incapacité de son organisme à répondre à l’insuline produite (diabète de type II).
Dans la pathogénèse du syndrome métabolique et du diabète de type 2, le développement d’une résistance à l’insuline, d’une hypertension et d’une stéatose hépatique non-alcoolique (NAFLD) joue un rôle central. Le milieu de la stéatose non-alcoolique (NAFLD) semble être fait pour les cellules cancéreuses. De nombreuses études soulignent le lien évident entre la fréquence croissante du diabète, le surpoids, la stéatose et l’incidence croissante des carcinomes du foie. Environ 25% des patients souffrant d’une stéatose hépatique non-alcoolique (NAFLD) ou de stéatohépatite non-alcoolique (SHNA) développent une fibrose, une cirrhose, voire un carcinome hépato-cellulaire.
Des taux élevés de glucose et d’insuline provoquent la lipogenèse hépatique et renforcent le développement de la stéatose non-alcoolique. La stéatose et la résistance à l’insuline s’entraînent et se renforcent mutuellement. L’insuline sécrétée ne peut pas inhiber suffisamment la synthèse hépatique du glucose et du VLDL. Les niveaux élevées de glycémie sont compensés dans le foie et le muscle par transformation du glucose en graisse. Ce qui cause la stéatose hépatique, puis la résistance centrale à l’insuline, ensuite la graisse dans la musculature et la résistance périphérique à l’insuline.
Des études prospectives ont démontrées que l’accumulation de graisse dans le foie est un prédicteur de diabète sucré de type 2, et parfois indépendamment d’une adiposité. En effet, le foie est la fabrique biochimique centrale de notre corps. C’est l’organe central du métabolisme de l’oxydo-réduction, de l’inflammation, de l’insuline, de l’énergie, du sucre, de la protéine, de la graisse et du cholestérol.
Le développement d’une résistance à l’insuline mène à l’hyper-insulinémie avec un épuisement progressif de la sécrétion d’insuline, qui se termine en diabète de type 2. De plus, les adipocytes contribuent grandement au métabolisme pro-inflammatoire du syndrome métabolique et renforcent ainsi la résistance à l’insuline.
Lorsque l’insuline ne peut plus remplir sa fonction, la concentration de glucose dans le sang et les urines augmente. Cela entraîne une hyper-insulinémie qui va de paire avec la résistance à l’insuline et l’hypertension. La fonction rénale se retrouve surchargée par une élimination accrue du potassium, de magnésium, de calcium et une rétention de chlorure de sodium.
L’insuline est une hormone d’engraissement et qui agit d’abord comme hormone anabolisante. L’insuline :
L’insuline anabolique joue donc un rôle central, en favorisant la synthèse du cholestérol, la résistance à l’insuline et l’apparition de cancers.
ETIOLOGIE
La pathogénèse du diabète, tout comme celle de l’hypertension, n’a pas une cause unique. Il s’agit de pathologie multifactorielle. Néanmoins un élément central a été découvert récemment : le type et la qualité de l’alimentation.
La responsabilité était imputée à la glycation non enzymatique des protéines en raison d’une augmentation du taux de glycémie à l’origine de la formation d’AGE. De nombreuses études montrent un épaississement de la membrane basale et une modification de l’élasticité des parois veineuses.
La stéatose hépatique non alcoolique constitue la principale cause de résistance à l’insuline. En cas d’une insuffisance pancréatique, l’hyper-insulinémie s’installe et un DNID.
Les facteurs étiologiques du diabète de type I n’ont pas encore été confirmés malgré les avancées scientifiques. Néanmoins, les chercheurs ont identifié des causes auto-immunes, dans lesquelles le système immunitaire attaque les cellules bêta productrices d’insuline. En revanche, ceux qui sont en surpoids ou ont des antécédents familiaux de diabète de type II sont plus disposés à cette maladie.
Le pancréas est un organe glandulaire doté de fonctions endocrines et exocrines nécessaires au maintient de l’homéostasie glycémique et à la sécrétion d’enzymes digestives.
De nombreux enfants sont rapidement diagnostiquer diabète type 1 sans réaliser toutes les analyses biologiques nécessaires. Une pancréatite, des carences (chrome, zinc…), intoxication, troubles psycho-émotionnels, hépatiques, infection (Hélicobacter pyroli…), exposition pancréatique à la N-nitrosamine ou au N-nitrosamide, surcharge d’acides gras, voire un excès d’acidité gastrique ou duodénale sont des causes responsables du diabète. Toutes les graisses excédentaires et le glucose accumulé dans le sang sont stockés dans les cellules hépatiques : c’est physiologique. Une consommation élevée d’acides gras saturés et de sucre raffiné favorise ainsi directement la stéatose hépatique. Celle-ci provoque une résistance à l’insuline et l’hyper-insulinémie chronique. Les cellules surengraissées essaient de brûler plus de nutriments mais sont appauvries en substances vitales. Ce qui augmente la formation de radicaux d’oxygène et d’azote qui nuisent aux enzymes de la chaîne respiratoire et d’autres structures des mitochondries. Tous ces paramètres contribuent au dysfonctionnement mitochondrial. Et c’est ainsi que naît la cytopathie mitochondriale permanente qui tue les mitochondries.
A partir de là, on entre dans un cercle vicieux: les produits non digérés du métabolisme comme les diglycérides, le glucose, les acides aminés et leurs produits de réaction, ainsi que le stress oxydant et nitrosatif chroniquement élevé activent les chaînes de signalisation pathologiques inflammatoires (neuropathie, rétinopathie, perte de mémoire…), cancérigènes (cancer pancréatique, gastrique, hépatique…), qui provoquent des dégâts dans les vaisseaux sanguins (MCV…), puis dans tout l’organisme avec des insuffisances rénales, etc. Les diabétiques insulino-dépendants ont un risque de cancer général supérieur à 50%.
Vous l’aurez compris, les injections d’insuline ne suffisent pas pour réguler tous ces dysfonctionnements, ni les comprimés hypoglycémiants. Le diabète doit être traité à large spectre pour une meilleure efficacité thérapeutique sans effets iatrogènes des médicaments.
SYMPTÔMES
Les symptômes peuvent inclure une augmentation de l’appétit, des mictions fréquentes et une soif accrue.
Les diabétiques développent plus de problèmes vasculaires et un risque très élevé de démence vasculaire.
Des périodes prolongées d’hyperglycémie caractérisées par le diabète peuvent entraîner de graves complications si elles ne sont pas traitées. Cette maladie est un déterminant important des crises cardiaques, de la rétinopathie à la cécité, de l’insuffisance rénale, des troubles d’érection et de fertilité, de la neuropathie, des accidents vasculaires cérébraux et des amputations de membres.
En 2019, environ 9,3 % de la population mondiale, soit environ 463 millions de personnes dans le monde, souffrait de diabète sucré, tandis que la maladie a également causé environ 1,92 million de décès la même année.
À mesure que les taux de morbidité liés au diabète ont augmenté au fil des décennies, de nouveaux médicaments et procédures de traitement adaptés à chaque type de diabète ont vu le jour. Les médicaments hypoglycémiants, tels que la metformine, l’insuline NPH et les agonistes du GLP-1, sont administrés sous forme de médicaments oraux ou d’injections. Bien que l’insulinothérapie soit efficace, elle peut entraîner divers effets secondaires après des périodes de traitement prolongées, tels que la résistance à l’insuline, la stéatose hépatique, l’anorexie mentale, l’atrophie cérébrale et les pertes de mémoire. De plus, ces traitements prédisposent les patients à un risque accrue de cancer du pancréas qui est le cancer le plus agressif au monde avec taux de mortalité de 99%. Le taux de morbidité et de mortalité sont élevés en raison de son diagnostic tardif et de sa chimio-résistance.
Pourquoi ces troubles sont dits incurables et multi-résistants aux médicaments conventionnels ?
Les cytokines inflammatoires telles que l’interleukine-1β, le TNF-α et l’interféron-γ sont connues pour être impliquées dans la médiation de la mort des cellules β dans le diabète sucré. L’hyperglycémie chronique induit un dysfonctionnement des cellules β pancréatiques par plusieurs voies de signalisation cellulaire. La perte de ces cellules par apoptose semble jouer un rôle crucial dans l’apparition et la progression du diabète et du cancer du pancréas. Il en est de même cellules α2 des îlots de Langerhans du pancréas. Sachant que le glucagon est sécrété par ces cellules et qu’il agit principalement sur le foie en provoquant une glycogénolyse, il peut donc également causer des troubles hépatiques (cholestase…) et la prolifération métastatique dans le foie.
De plus, le diabète favorise l’agrégation des plaquettes sanguines qui est un des facteurs de la coagulation sanguine. Cela prédispose à d’éventuelles formations de thromboses (caillots de sang). Le diabète peut également provoquer une insuffisance cardiaque et rénale.
SOLUTIONS
Les propriétés antidiabétiques de nos composants s’expliquent par l’induction de la sécrétion d’insuline stimulée par le glucose à partir de cellules bêta qui étaient altérées, et par une augmentation de l’expression des gènes GLUT.
Nos composants ont présenté une activité anti-hyperglycémique, insulino-sécréteur, insuline-like et une diminution significative de la glycémie. Ils pourraient entraîner une action prolongée de réduction de la glycémie par rapport aux médicaments standards contre le diabète, tels que le glibenclamide.
Ils contribuent à l’amélioration des défauts dans les activités des enzymes clés des voies glycolytiques et aident à réduire les dommages causés au sang et aux tissus induits par le diabète.
Nos composant aident à :
Les oncologues et les diabétologues citent des données scientifiques issues d’études épidémiologiques et in vitro pour montrer que des niveaux élevés d’insuline et de glucose, associés au stress oxydatif et à l’inflammation chronique, peuvent augmenter le risque de développer un cancer chez les patients diabétiques. Bien que les cancers qui ont été systématiquement associés au diabète de type 2 comprennent le cancer du pancréas, colorectal, du sein et du foie, la prépondérance des facteurs de risque de la maladie tels que l’obésité, l’inflammation, l’hyperglycémie, l’hyperinsulinémie (en raison de la résistance à l’insuline et des cellules β oxydatives dommages) et l’influence indirecte des médicaments antidiabétiques sont de plus en plus définies.
MECANISMES D’ACTION
Les propriétés principales de l’insuline et des IGFs en rapport avec les cancer sont la stimulation de la protéine cellulaire et l’inhibition de l’apoptose. L’insuline augmente la biodisponibilité des IGF-1 en favorisant leur synthèse et en diminuant la synthèse de leurs protéines de liaison (IGFBP-1 et 2). L’IGF-1 est un facteur de croissance pour les cellules embryonnaires et adultes, et peut diminuer l’induction d’apoptose. Il régule le cycle cellulaire en modulant les cyclines, les kinases et les inhibiteurs kinase qui dépendent des cyclines. L’IGF-1 et surtout l’IGF-2 jouent un rôle essentiel dans la régulation de niche des cellules souches embryonnaires et tumorales. Les IGFs sont produits dans le foie, mais les tumeurs ont aussi la capacité de synthétiser elles-mêmes l’IGF-2 mitogène. Les IGFs se lient aux récepteurs d’IGF et en partie aux récepteurs d’insuline. L’insuline stimule ainsi la prolifération et inhibe l’apoptose des cellules cancéreuses de 2 manières : directement et indirectement via les IGFs.
Dans une méta-analyse, on a constaté que les concentrations d’IGF-1 et de IGFBP-3 circulant dans le sang sont associées positivement à l’apparition de types de cancers fréquents. Les cellules cancéreuses se développent plus vite quand les taux d’IGF sont élevés. L’IGF-1 influence l’apparition du cancer en régulant la prolifération et la différenciation des cellules et en inhibant l’apoptose. Les processus de transformation oncogènes sont très influencés par ce récepteur.
Les cellules cancéreuses surexpriment le récepteur d’insuline et celui des IGF-1, ce qui les rend très sensibles à ces stimuli anabolisants. Les cascades de signalisation des deux récepteurs sont très actives et donc aussi leurs effets mitogènes.
MOYENS D’ACTION
La capacité des ingrédients de nos formules à influencer les cascades de signalisation associées à la croissance et à la survie cellulaires constitue un complément chimiopréventif rationnel qui pourrait être utilisé en combinaison avec des thérapies traditionnelles basées sur l’oxydo-réduction qui ciblent le stress oxydatif dans le micro-environnement du cancer.
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Chez HG Wellness, votre santé est notre priorité.
Références scientifiques : National Institute of Health, Nature.com, CCNSI, MDPI, SciFinder, BioFINDER, ScienceDirect, SCOPUS, CINAHL, ProQUEST, EMBASE, Cochrane, TOXNET, CAplus, TOXCENTER, SCISEARCH, MEDLINE, NCI CTCAE, NCBI, PUBMED, SpringerLink, NAPRALERT, Hindawi, American Institute of Cancer Research, National Cancer Institute, Webmd, CIMER, InteliHealth, The American Society of Pharmacognosy, Thelancet, Web of Science, TRAMIL, Chemical Abstracts, Clinical Trials Registry Platform, ClinicalTrials.gov, Dr. Dukes Phytochemical and Ethnobotany, Planta medica, Journal of Natural Products, Phyochemistry, Phytotherapy research, American Academy of Neurology, Journal of Rheumatology, American College of Rheumatology, Journal of pain, American Academy of Dermatology, Journal of Traditional and Complementary Medicine, Journal of Ethnopharmacology, Google Academic, Google Scholar, BMC Complementary and Alternative Medicine.
Autres : NICE (National Institue for Health and Care Excellence), National Clinical Guideline Center, Université de Harvard (Harvard Medical School, Health Professionals Study, Havard School of Public Health), WCRF (World Cancer Research Fund International), AICR (American Institute for Cancer Research), Medicatrix, Physician’s Health Study, AHA (American Heart association), International Diabetes Federation, OMS, Académie Chinoise pour la Médecine Préventive, Université Cornell, Université d’Oxford, Patentscope.
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