La régénération des cellules dermiques contribue au traitement des troubles de la chute des cheveux via les protéines (Wnt, β-caténine…), la migration et la prolifération des kératinocytes de la matrice capillaire, l’activation de la sérine / thréonine kinase AKT, ainsi que l’augmentation des kinases (MEK-1/2) dans les cellules épithéliales des cheveux tout en favorisant de manière intensive la prolifération des cellules.
De plus, la présence de nombreux flavonoïdes augmente la propriété inductive des cheveux via l’activation de la signalisation de ces protéines. Ainsi vous allez remarquer un allongement de la tige capillaire, une durée anagène prolongée et une prolifération des kératinocytes de la matrice capillaire.
Prouesse scientifique
– « L’activité intensive de promotion de la croissance des cheveux est d’environ 140% par rapport aux groupes témoins. Cet extrait d’huile a montré une activité de croissance capillaire élevée sous la forme d’une activité de promotion de la croissance des cellules épithéliales capillaires in vitro et d’une activité inductrice d’anagène in vivo. »
– « Quarante patients répondaient aux critères d’inclusion et se sont inscrits pour l’étude. Le premier groupe (traité avec la plante) était composé de 20 patients (12 hommes, 60% et huit femmes, 40%). Le deuxième groupe (témoin) était composé de 20 patients (10 hommes, 50% et 10 femmes, 50%). À la fin du traitement, des réponses bonnes ont été observées respectivement chez 19 (95%) et un (5%) patients du premier groupe, ce qui était significativement meilleur que le groupe témoin (p = 0,001). »
– « Dans les cellules constitutives de la peau, seules les cellules épithéliales telles que les kératinocytes capillaires ou les kératinocytes épidermiques répondent aux extraits. L’application topique a conduit à une régénération significative des cheveux : 80,9% +/- sur la base de la zone rasée. »
– « Après une utilisation séquentielle pendant 4 mois, un essai clinique en double aveugle a été réalisé, impliquant un total de 29 sujets (dont 10 placebo). Aucun effet secondaire indésirable n’a été observé dans les deux groupes. Dans le groupe, 78,9% ont montré une augmentation de la valeur moyenne du diamètre des cheveux grâce à cette molécule. »
– « Leur âge variait de 3 à 35 ans avec une moyenne de 18,3 ans. Il a été conseillé aux deux groupes d’appliquer le traitement deux fois par jour pendant deux mois. La repousse des poils terminaux grossiers a commencé après deux semaines de traitement. À quatre semaines, la repousse des cheveux a été observée chez 17 patients (73,9%) et, à six semaines, la repousse des cheveux a été observée chez 20 patients (86,9%) et était significativement plus élevée chez les hommes (93,7%) par rapport aux femmes (71,4%). »
Les produits cosmétiques sont des supports thérapeutiques qui pourront remplacer les médicaments topiques. En cas de chute de cheveux de moins de six mois, ils pourront amplement répondre à vos besoins. Néanmoins, toute chute de cheveux qui dure plus de six mois se doit d’être considérée comme une alopécie, et donc une maladie auto-immune (surtout l’alopécie universelle, et l’alopécie areata qui est aussi appelée pelade) car le système immunitaire attaque les follicules pileux, entraînant une perte de cheveux localisée en plaques. L’alopécie areata est non cicatricielle, ce qui signifie que les follicules ne sont pas définitivement détruits et que les cheveux peuvent potentiellement repousser. Elle peut survenir chez des personnes génétiquement prédisposées et est souvent associée à d’autres maladies auto-immunes, comme le vitiligo, le psoriasis, la polyarthrite, la thyroïdite, et parfois la leucémie. Bien que cette forme d’alopécie soit généralement bénigne, elle peut avoir un impact significatif sur les cellules sanguines et sur la santé psychologique des personnes touchées.
Dans ce cas, il est primordial de réguler les dysfonctionnements physiologiques pour une meilleure efficacité thérapeutique et pour éviter les récidives.
Impact des traitements chimiothérapeutiques sur les cheveux
L’utilisation de traitements médicamenteux en chimiothérapie s’accompagne de risques significatifs pour la santé. L’évaluation rigoureuse du rapport bénéfice/risque de ces substances demeure une étape cruciale avant leur administration. Parmi les effets secondaires les plus marquants, l’alopécie induite par chimiothérapie, désignée sous le terme d’effluvium anagène, constitue un phénomène fréquent.
Mécanisme de l’effluvium anagène
L’effluvium anagène résulte de la toxicité directe des agents chimiothérapeutiques, notamment les agents alkylants (comme le cyclophosphamide) ou les antimétabolites (comme le méthotrexate). Ces substances, ciblant les cellules à division rapide, affectent de nombreuses cellules, dont les kératinocytes matriciels du follicule pileux. Ce processus entraîne une fragilisation et une cassure de la tige pilaire. L’alopécie apparaît généralement dans les deux semaines suivant le début du traitement et persiste jusqu’à l’arrêt de la chimiothérapie.
Caractère réversible ou irréversible
Dans certains cas, l’effluvium anagène demeure un phénomène transitoire, avec une repousse des cheveux après la fin du traitement. Cependant, une exposition à de fortes doses de radiations ou à des agents chimiothérapeutiques extrêmement toxiques peut détruire les cellules souches du follicule pileux, rendant l’alopécie irréversible. Ce qui justifie la nécessité d’une prise en charge personnalisée et de stratégies de prévention.
Prenons l’exemple des cheveux d’un cadavre : il est bien connu que les cheveux sont parmi les derniers tissus à se décomposer et peuvent être préservés pendant des milliers d’années dans certains cas. L’ADN des cheveux peut rester analysable très longtemps. C’est pour cette raison que les archéologues trouvent souvent des cheveux sur les restes humains anciens, et que les cheveux peuvent servir d’élément d’identification en médecine légale. Cela démontre la chimiotoxicité de ce type de traitement, et prouve que la chute de cheveux émane d’un dysfonctionnement physiologique et pas que dermatologique.
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Références scientifiques : National Institute of Health, Nature.com, CCNSI, MDPI, SciFinder, BioFINDER, ScienceDirect, SCOPUS, CINAHL, ProQUEST, EMBASE, Cochrane, TOXNET, CAplus, TOXCENTER, SCISEARCH, MEDLINE, NCI CTCAE, NCBI, PUBMED, SpringerLink, NAPRALERT, Hindawi, WCRF (World Cancer Research Fund), AICR (American Institute for Cancer Research), National Cancer Institute, Webmd, CIMER, InteliHealth, The American Society of Pharmacognosy, The Lancet, Web of Science, TRAMIL, Chemical Abstracts, Clinical Trials Registry Platform, ClinicalTrials.gov, Dr. Dukes Phytochemical and Ethnobotany, Université de Harvard (Harvard Medical School, Health Professionals Study, Havard School of Public Health), Planta medica, Journal of Natural Products, Phyochemistry, Phytotherapy research, Journal of Cardiology, American Academy of Neurology, Journal of Rheumatology, American College of Rheumatology, Journal of pain, American Academy of Dermatology, Journal of Traditional and Complementary Medicine, Journal of Ethnopharmacology, Google Academic, Google Scholar, BMC Complementary and Alternative Medicine.
Autres : New England Journal of Medicine, NICE (National Institue for Health and Care Excellence), National Clinical Guideline Center, Medicatrix, Physician’s Health Study, AHA (American Heart association), ADA (American Diabete Association), International Diabetes Federation, OMS, Food Nutrition Board, DGAC (Dietary Guidelines Advisory Committee), Académie Chinoise pour la Médecine Préventive, Centre de recherche universitaire (Université Cornell, Université de Caroline du Nord, Université d’Oxford, Université Thomas Jefferson), M. D Anderson Cancer Center de l’Université du Texas, Nutrition Research Reviews, Patentscope, DKF2 (Centre de recherche pour le cancer d’Heidelberg), Institut Karolinska, IASO (Association for the Study of Obesity), Institut de Recherche sur l’Alimentation Enfantine, DIfE (Institut de Recherche Nutritionnelle Allemand).