HG PROSTA SUPPORT SOUTIENT DE LA PROSTATE

Depuis 2013, le cancer de la prostate est le deuxième cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez les hommes dans le monde. Les taux d’incidence sont les plus élevés en Australie, en Europe occidentale et en Amérique du Nord, tandis que le taux d’incidence le plus faible est observé en Asie du Sud et du Centre. Tandis qu’en 2008, le cancer de la prostate était la sixième cause de décès par cancer chez les hommes dans le monde.

Il a été démontré que le test de l’antigène prostatique spécifique (PSA) avait une plus grande influence sur l’incidence que sur la mortalité.

Pendant des années, le cancer de la prostate, comme d’autres formes de cancer, a été géré par les modalités de traitement conventionnelles telles que la chirurgie, la radiothérapie, la cryochirurgie et les thérapies hormonales. On sait que le cancer de la prostate progresse lentement et il est crucial de prévenir son apparition pour réduire le risque de développement de la maladie.

Le cancer de la prostate dépend de la testostérone circulante à ses débuts. Cependant, les tumeurs de la prostate récurrentes évoluent vers un état indépendant des androgènes dans lequel elles progressent en l’absence de testostérone circulante, entraînant des métastases et la mort. Au cours du développement de l’indépendance des androgènes, les cellules cancéreuses de la prostate sont connues pour augmenter la synthèse intracellulaire de testostérone, ce qui maintient la croissance des cellules cancéreuses en l’absence de quantités significatives de testostérone circulante.

La chimioprévention et la chimiothérapie, notamment l’administration d’un ou plusieurs agents anticancéreux naturels, ont été identifiées comme des approches permettant de réduire, de supprimer ou d’inverser la prévalence de maladies telles que le cancer de la prostate. Au cours des dernières décennies, il a été confirmé que plusieurs molécules naturelles contenaient des agents chimiopréventifs et thérapeutiques pour divers cancers, dont le cancer de la prostate. Plus important encore, on estime que plus de 60 % des agents anticancéreux actuellement utilisés proviennent de sources naturelles.

Notre formule HG PROSTA SUPPORT® aide à réguler de nombreux symptômes associés aux troubles de la vessie, de la prostate et des testicules.

SYMPTÔMES

• Difficulté à uriner ou rétention urinaire,
• incontinence urinaire (augmentation de la diurèse: pollakiurie qui est besoin fréquent d’uriner, surtout la nuit : polyurie nocturne), dernière goutte persistante
• augmentation de la taille de la prostate
• compression de l’urètre,
• dysurie (miction douloureuse, sensation de brûlures),
• douleur vésicale ou périnéale
• infections urinaires fréquentes (cystite, prostatite ou pyélonéphrite)
• présence de sang dans les urines ou dans le sperme
• troubles sexuels : difficulté d’érection, éjaculation précoce, douleur à l’urètre lors de l’éjaculation)
• algies périnéale et génitale (douleur rectale, génitale, vessie).

Les symptômes des voies urinaires inférieures secondaires à l’HBP sont de plus en plus répandus chez la gente masculine. La disponibilité des traitements efficaces se fait rare et les autres solutions ont de nombreux effets délétères.

Lorsqu’une personne souffre d’incontinence urinaire, le médicament prescrit par l’urologue va créer une rétention urinaire et par la suite, une hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) qui pourrait endommager l’appareil uro-génital et devenir cancéreuse. Raison pour laquelle l’ablation était la seule solution viable.

Et à l’inverse, si une personne souffre de rétention urinaire, l’urologue va mettre en place des médicaments qui vont augmenter le débit urinaire et affaiblir les cellules des reins, de la vessie et de la prostate.

SOLUTIONS

Après plusieurs années de travaux de recherches cliniques et scientifiques, des scientifiques ont apportés des solutions plus efficaces sans ablation de la prostate et sans effets secondaires.

La formule HG PROSTA SUPPORT® aide à réguler l’ensemble des symptômes cités ci-dessus.

MECANISMES D’ACTION

Notre formule aide dans l’amélioration de LUTS/BPH au niveau préclinique et clinique. Les mécanismes d’action potentiels comprennent des effets diurétiques, anti-androgènes, pro-apoptotiques et anti-inflammatoires ciblant Akt et mTOR. Il s’agit d’un mécanisme antitumoral dans les cellules cancéreuses de la prostate via l’arrêt de G1 et l’inhibition de la signalisation Wnt/β-caténine et des récepteurs aux androgènes.

La dihydrotestostérone (DHT), un métabolite actif de la testostérone formé par l’action de l’enzyme 5-alpha réductase, joue un rôle central dans la physiopathologie des troubles de la prostate. Bien qu’elle participe à plusieurs processus physiologiques essentiels, une concentration excessive de DHT contribue à des pathologies comme l’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP), et à terme le cancer de la prostate. Des études ont montré que la DHT est un ligand androgénique puissant qui se lie au récepteur des androgènes et favorise la transcription de l’ADN cible.

Notre formule participe à l’inhibition de la 5α-réductase afin d’éviter la prolifération au niveau hormonal et contribue à la préservation des cellules de la prostate. Elle aide également à bloquer la dihydrotestostérone (DHT).

En outre, notre formule augmente le potentiel thérapeutique dans le traitement du cancer de la prostate en raison de ses propriétés inhibitrices sur la DHT. Les extraits et les dérivés phytochimiques de nos formules ont démontré une action suppressive sur les tumeurs de la prostate liée aux récepteurs des androgènes, ce qui suggère son efficacité potentielle dans le traitement du cancer de la prostate.

La HG POSTA SUPPORT® aide à diminue l’expression du PSA et du récepteur des androgènes (RA) au niveau de l’ARNm et des protéines dans les cellules LNCaP.

Elle aide à atténuer l’expression du RA, PSA et Wnt-3a et à la stabilité de RA et PSA dans les cellules LNCaP. Tout ceci pour contribuer au bon fonctionnement de la vessie, de la prostate et des testicules.

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Chez HG Wellness, votre santé est notre priorité.

Références scientifiques : National Institute of Health, Nature.com, CCNSI, MDPI, SciFinder, BioFINDER, ScienceDirect, SCOPUS, CINAHL, ProQUEST, EMBASE, Cochrane, TOXNET, CAplus, TOXCENTER, SCISEARCH, MEDLINE, NCI CTCAE, NCBI, PUBMED, SpringerLink, NAPRALERT, Hindawi, WCRF (World Cancer Research Fund), AICR (American Institute for Cancer Research), National Cancer Institute, Webmd, CIMER, InteliHealth, The American Society of Pharmacognosy, The Lancet, Web of Science, TRAMIL, Chemical Abstracts, Clinical Trials Registry Platform, ClinicalTrials.gov, Dr. Dukes Phytochemical and Ethnobotany, Université de Harvard (Harvard Medical School, Health Professionals Study, Havard School of Public Health), Planta medica, Journal of Natural Products, Phyochemistry, Phytotherapy research, Journal of Cardiology, American Academy of Neurology, Journal of Rheumatology, American College of Rheumatology, Journal of pain, American Academy of Dermatology, Journal of Traditional and Complementary Medicine, Journal of Ethnopharmacology, Google Academic, Google Scholar, BMC Complementary and Alternative Medicine.

Autres : New England Journal of Medicine, NICE (National Institue for Health and Care Excellence), National Clinical Guideline Center, Medicatrix, Physician’s Health Study, AHA (American Heart association), ADA (American Diabete Association), International Diabetes Federation, OMS, Food Nutrition Board, DGAC (Dietary Guidelines Advisory Committee), Académie Chinoise pour la Médecine Préventive, Centre de recherche universitaire (Université Cornell, Université de Caroline du Nord, Université d’Oxford, Université Thomas Jefferson), M. D Anderson Cancer Center de l’Université du Texas, Nutrition Research Reviews, Patentscope, DKF2 (Centre de recherche pour le cancer d’Heidelberg), Institut Karolinska, IASO (Association for the Study of Obesity), Institut de Recherche sur l’Alimentation Enfantine, DIfE (Institut de Recherche Nutritionnelle Allemand).